Il faut cultiver son jardin (et si en plus ça fournit du pif c’est encore meilleur)
Dans la famille, la balance d’alcool a, en première approximation, la même tronche que la balance commerciale de notre beau pays. Un bon coup dans le nez.
Du coup, comme la planche à billets n’est d’aucun recours ici, il suffit d’augmenter la production nationale. Voire locale.
Dont acte.
Ici nous sommes à l’étape de filtrage pour la production du blanc qui part en méthode champenoise. L’entonnoir contient une sorte de filtre à café, très épais… et qui s’encrasse très vite. Après 3 litres filtrés, ça coule au goutte à goutte…Bref c’est un peu comme au boulot, on attend que ça se passe !

Comme c’est long et qu’on est malin, on parallélise le filtrage ici dans un gros bidon :

Embouteillage du blanc (notez le geste auguste et la machine high-tech utilisée)

Le nouveau-né (quelques heures à peine) est déjà indépendant et prend le soleil près de ses parents (roooh c’est-y-pas-mignon)

Bon mais ça c’est la récolte de l’année dernière, il faut se tourner vers l’avenir et ça tombe bien. Car après quelques verres, votre serviteur devient l’équivalent vendéen de Duke Nukem (remarquez que n’ayant pas de rangers, j’ai quand même mis des chaussures de sécurité) pour bouter le mildiou hors de notre système solaire.

Certes là je fais le malin, mais 18 kilos dans le dos, ça casse un peu la mobilité.
Don’t cross the streams !!!
